Demain dans vos salles #12


Dernières sorties ciné intégrales pour nous (nouvelles formules à venir à partir de la semaine pro), nous espérions pouvoir vous régaler et vous appâter avec de sublimes affiches et de succulents scénarios qui vous auraient mis plein d'étoiles dans les yeux. Eh bien, force est de reconnaître que la programmation de cette semaine nous laisse bien indifférents. Pas de vrais bons films à l'horizon (il y a bien la réal' avec Casey Affleck qui va ratisser du monde mais c'est tout) mais, a priori, pas de très mauvais non plus.

Si néanmoins vous vous décidez à faire un ciné cette semaine, j'espère que vous avez prévu des paquets de mouchoirs pour pleurer car vous n'aurez le droit qu'à des drames. Ou alors vous avez des gosses et, dans ce cas-là, vous irez voir Yakari ! Quoi qu'il en soit, Adrien, notre chroniqueur plein de sensibilité et de compassion, s'est chargé de vous concocter quelques avis sur ce qui vous attend.

Si vous êtes Rouennais ou à proximité, vous serez aux anges d'apprendre que, comme d'habitude, vos cinés favoris vous gâtent tout plein avec de superbes séances spéciales. Honnêtement, pour ces derniers, n'hésitez pas, foncez au ciné, ne serait-ce que par solidarité pour vos salles qui passent des semaines à exhumer la boîte de caviar du milieu du champ de navets !


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Titre : Light Of My Life
Réalisateur : Casey Affleck
Pays d'origine : États-Unis
Genre : Drame
Durée : 1h59
Acteurs principaux : Casey Affleck, Anna Pniowsky, Tom Bower

Synopsis : Dans un futur proche où la population féminine a été éradiquée, un père tâche de protéger Rag, sa fille unique, miraculeusement épargnée. Son plus grand défi est ailleurs : alors que tout s'effondre, comment maintenir l'illusion d'un quotidien insouciant et préserver la complicité fusionnelle avec sa fille ?



L'avis d'Adrien : Dans un monde post-apo style La Route, notre ami Casey Affleck trimbale ses cheveux gras et sa fille. Toutes les femmes ont disparu sauf cette dernière et, donc, c'est un peu la soupe à la grimace. Ambiance camping sauvage, urbex et méchants à la gueule patibulaire au menu pour un film que j’ai l’impression d’avoir déjà vu. Sans déconner, après la bande-annonce, j’ai plus envie de revoir Les Fils de l’Homme que de m'embarquer là-dedans ! Après c’est sûr qu’on est toujours à la diète au niveau des sorties donc, bon, on ne va peut-être pas trop faire la fine bouche...

♪ Où sont les femmes ♪ : A défaut d'un post-apo original, je ne saurai que trop vous recommander Jacky au Royaume des Filles de Riad Sattouf, une caricature bien plus fun et inventive du patriarcat.


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Titre : Yakari, La Grande Aventure
Réalisateurs : Toby Genkel / Xavier Giacometti
Pays d'origine : Allemagne / Belgique / France
Genre : Animation
Durée : 1h22
Doubleurs principaux : Aloïs Agaësse-Mahieu, Arielle Vaubien, Hannah Vaubien

Synopsis : Alors que la migration de sa tribu est imminente, Yakari le petit Sioux part vers l'inconnu pour suivre la piste de Petit-Tonnerre, un mustang réputé indomptable. En chemin, Yakari fera la rencontre magique de Grand-Aigle, son animal totem, de qui il recevra une superbe plume... et un don incroyable : pouvoir parler aux animaux...



L'avis d'Adrien : Si je ne m'abuse, on aurait affaire à un préquel de la série animée éponyme. Je ne sais absolument pas si les gosses regardent encore Yakari de nos jours mais ça a l'air ni plus ni moins intéressant que l'idée que je m'en faisais. L'animation a l'air, quant à elle, aussi médiocre que le scénario, qui va cocher les cases du film pour minots sans se fouler. Au mieux un moment plaisant pour Kévin et l'occas' pour papa et maman de cartonner sur Candy Crush. Est-ce que les adultes jouent encore à Candy Crush ?

Wakatépé Baboune : Comme je vous mijote le premier épisode d'un feuilleton spécial Star Trek, je vous tease comme un cochon en vous recommandant ce très chouette épisode de Star Trek: The Next Generation intitulé La Fin du Voyage, où notre bon commandant Picard doit procéder au déplacement de natifs américains.

Un extrait de l'épisode en question pour vous appâter.

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Titre : The Perfect Candidate
Titre V.O. : المرشحة المثالية
Réalisateur : Haifaa Al-Mansour
Pays d'origine : Allemagne / Arabie Saoudite
Genre : Drame
Durée : 1h44
Acteurs principaux : Mila Al Zahrani, Dae Al Hilali, Nora Al Awad

Synopsis : Maryam est médecin dans la clinique d'une petite ville d'Arabie saoudite. Alors qu'elle veut se rendre à Riyad pour candidater à un poste de chirurgien dans un grand hôpital, elle se voit refuser le droit de prendre l’avion. Célibataire, il lui faut une autorisation à jour signée de son père, malheureusement absent. Révoltée par cette interdiction de voyager, elle décide de se présenter aux élections municipales de sa ville. Mais comment une femme peut-elle faire campagne dans ce pays conservateur dominé par les hommes ?



L'avis d'Adrien : En tant qu'admirateur d'Emma Goldman, la bande-annonce de ce drame électoraliste féministe ne m'a pas vraiment convaincu. De plus, même au-delà du propos, les personnages et la réalisation ne m'emballent pas non plus et confirment l'impression persistante d'avoir affaire à un film anecdotique. Je conçois que, dans le paysage cinématographique saoudien, ce film marque un tournant mais, étant visiblement une co-prod' allemande, on aurait pu attendre aussi plus de radicalité, une œuvre qui transpire le combat, la lutte, et c'est pas vraiment ce que j'ai ressenti.

Ara bien ou bien mon gars ? : Comme je suis pas une brute, je vous recommande un doc' sur Emma Goldman. Bon, après, j'ai pas vu le documentaire en question mais y'a pas de raison que ce soit mauvais.


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Titre : Voir Le Jour
Réalisatrice : Marion Laine
Pays d'origine : France
Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h31
Acteurs principaux : Sandrine Bonnaire, Brigitte Roüan, Aure Atika

Synopsis : Jeanne travaille comme auxiliaire dans une maternité de Marseille. Nuit et jour, Jeanne et ses collègues se battent pour défendre les mères et leurs bébés face au manque d’effectif et à la pression permanente de leur direction. Jeanne vit avec Zoé, sa fille de 18 ans, qu’elle élève seule. Lorsqu’un drame survient à la maternité et que Zoé part étudier à Paris, le passé secret de Jeanne resurgit soudain et la pousse à affirmer ses choix de vie.



L'avis d'Adrien : Je ne vais pas vous mentir : les séries ou les films médicaux me laissent de marbre, mais quelque chose de concret ! Mieux que ça : les bébés, le miracle de la vie et compagnie, ça m’en touche une sans faire bouger l’autre ! V’là donc que je me retrouve tout penaud devant cette bande-annonce. Y’a absolument rien de ce que je veux voir au cinéma là-dedans. La seule partie intéressante, celle concernant la précarité induite par les logiques managériales néo-libérales appliquées à l’hôpital public, a l’air totalement survolée au profit d'une intrigue de passé enfoui et de quête d'identité dont je me fous comme de l'an 40 !

J'irai planter des endives au Vél' d'Hiv' : Si, comme moi, ce qui vous intéresse, c'est la lutte des classes et le combat à mort contre l'oligarchie néo-libérale, comment ne pas recommander le grand film coup de poing de Stéphane Brizé, En Guerre. Avec son Vincent Lindon impérial et sa plongée dans les doutes, les joies et les turpitudes d'un collectif pris dans un combat qui ne leur laisse aucune chance. C'est un incontournable.


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Titre : Lil'  Buck: Real Swan
Réalisateur : Louis Wallecan
Pays d'origine : France
Genre : Documentaire
Durée : 1h25
Intervenants principaux : Lil' Buck, Joe Mulherin

Synopsis : Lil’ Buck, jeune prodige de la street dance de Memphis baptisée « jookin’ », est rapidement devenu l’un des meilleurs danseurs de la ville avant de décider de prendre des cours de ballet. De cette alchimie va naître un mythe, celui d’un virtuose défiant la gravité, réconciliant deux styles et s’imposant comme une référence pour des artistes comme Yo-Yo Ma, Benjamin Millepied, Spike Jonze ou encore Madonna.



L'avis d'Adrien : On va pas se mentir : j'ai autant d'atomes crochus avec la danse qu'avec la physique des particules et, autant vous le dire, j'ai fait L (oui, je sais, ça n'existe plus). Nous avons donc affaire à un documentaire sur une personne que je ne connaissais pas qui pratique un art que je ne connaissais pas non plus. D'aucuns diront que c'est l'occas' d'en apprendre plus. En soi pourquoi pas, la danse a l'air correctement mise en scène. Néanmoins, je crains un peu l'effet petit prodige des quartiers craignos adopté par la bourgeoisie / élite culturelle qui tend à légitimer la méritocratie. Cette idée que l'ascension sociale d'une personne justifie que des centaines restent en bas de l'échelle... M'enfin je suis peut-être parano.

Billy Elliott fait des émules : Pour vous donner une idée du niveau où ma connaissance bute en terme de danse, je vous remets pour le plaisir ce qui constitue incontestablement une des meilleures scènes du genre de notre histoire du cinéma.


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Titre : Nana et les filles du bord de mer
Réalisatrice : Patricia Bardon
Pays d'origine : France
Genre : Comédie dramatique
Durée : 1h18
Acteurs principaux : Sofiia Manousha, Grégoire Isvarine, Héloïse Roth

Synopsis : Un village au loin, en bord de mer, où Internet est arrivé. "C'est Mathieu qui a commencé" déclare Nana dans le prologue. La "déclaration" de Mathieu se révèle aussi violente que naïve. Nana part en guerre : elle décide de ne pas pleurer, de ne pas discuter, mais de faire sa guerre en allant encore plus loin que son homme dans la séduction sur les réseaux, en cherchant le pire. Sa guerre sème la zizanie dans le groupe des filles du bord de mer, et des gars. Les désirs et les amours contrariés de Nana et sa bande vont et viennent au rythme des clics comme au rythme des marées, dans des situations aussi irréalistes et farfelues que réelles et contemporaines...



L'avis d'Adrien : LE film d'auteur de la semaine qui va nous disséquer l'impact d'Internet sur une communauté relativement isolée. Le pitch est 100% boomer mais, pourtant, la bande-annonce réussit presque à me le vendre. Il y a un parfum de Benchetrit qui flatte mon côté Télérama, que ce soit dans la photo ou les personnages. Sûrement parmi les nouveautés qui me tentent le plus cette semaine ! Je suis aussi surpris que vous.

Vous me recevez, mon cher Léon ? : On reste dans le thème d'Internet avec la prochaine comédie signée Delépine et Kervern, incontestablement les auteurs de comédies les plus inventifs et percutants de notre industrie française. Effacer l'Historique est en plus l'occasion d'une collab' avec Blanche Gardin qui m'enjaille au plus haut point. On en reparlera de toute façon sur le site mais, en attendant, je vous recommande la bande-annonce.


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Titre : The Crossing
Titre V.O. : 过春天
Réalisateur : Xue Bai
Pays d'origine : Chine
Genre : Drame
Durée : 1h39
Acteurs principaux : Yao Huang, Carmen Soup, Sunny Sun

Synopsis : Peipei est une lycéenne de 16 ans qui vit avec sa mère à Shenzen et étudie à Hong Kong. Avec sa meilleure amie Jo, toutes les deux rêvent de vivre un jour de Noël sous la neige au Japon. Alors que Peipei cherche du travail pour financer ce voyage, le petit ami de Jo lui propose de se faire de l’argent en passant illégalement des téléphones portables par la frontière...



L'avis d'Adrien : Chronique adolescente narrant l'exploration d'une jeune lycéenne des bas-fonds interlopes hongkongais, le film a l'air de sacrément tenir la route. Promettant un basculement dans le thriller, celui-ci semble être aussi le moyen d'explorer comment une partie de la jeunesse de Hong Kong se représente le Japon ainsi que les conséquences de l'augmentation de la précarité sur l'île. On recommande donc, à supposer que le film passe près de chez vous.

Casse-tête chinois pour le judoka : Hong Kong toujours mais, cette fois, côté castagne et mandales avec le très chouette jeu de Square Enix, Sleeping Dogs, malheureusement un peu passé à la trappe. L'occasion ici de vous remettre sa non moins chouette bande-annonce qui casse des bras.


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Jeanne, au secours ! : Si vous êtes Rouennais ou à proximité et que les affiches de cette semaine vous désespèrent, vous pourrez toujours vous consoler avec les prog' spéciales que les cinémas de la capitale normande réservent à leurs chers concitoyens. Comme toujours, ces derniers mettent les petits plats dans les grands en vous proposant de succulents films à redécouvrir :


Titre : Hunger Games : La Révolte - Partie 1
Titre V.O. : The Hunger Games: Mockingjay - Part 1
Réalisateur : Francis Lawrence
Pays d'origine : Canada / États-Unis / France
Genre : Action
Durée : 2h03
Acteurs principaux : Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth



Synopsis : Katniss Everdeen s’est réfugiée dans le District 13 après avoir détruit à jamais l’arène et les Jeux. Sous le commandement de la Présidente Coin, chef du district, et suivant les conseils de ses amis en qui elle a toute confiance, Katniss déploie ses ailes pour devenir le symbole de la rébellion.



Lieu de projection : Docks
Dates de projection : 13/08 (peut-être d'autres séance à venir)
Langues de projection : VF (peut-être VO sur d'éventuelles futures séances)









Titre : Hunger Games : La Révolte - Partie 2
Titre V.O. : The Hunger Games: Mockingjay - Part 2
Réalisateur : Francis Lawrence
Pays d'origine : Allemagne / Canada / États-Unis / France
Genre : Action
Durée : 2h17
Acteurs principaux : Jennifer Lawrence, Josh Hutcherson, Liam Hemsworth



Synopsis : Alors que Panem est ravagé par une guerre désormais totale, Katniss et le Président Snow vont s’affronter pour la dernière fois. Katniss et ses plus proches amis – Gale, Finnick, et Peeta – sont envoyés en mission pour le District 13...



Lieu de projection : Docks
Dates de projection : 13/08 (peut-être d'autres séance à venir)
Langues de projection : VF (peut-être VO sur d'éventuelles futures séances)





L'avis de John : Une semaine après le Gaumont de Grand-Quevilly qui les avait déjà diffusés, les Docks proposent à leur tour de revoir les deux derniers volets de la saga pour teenagers Hunger Games. Je vais pas vous mentir : je trouve les différents films de la saga au mieux divertissants mais, sinon, je les apprécie autant que les épinards et les raviolis... Mais je conçois qu'on puisse avoir un certain intérêt pour cette saga même quand on n'est pas le public ciblé, à savoir les teenagers blasés de la life, d'autant plus qu'il y a Donald Sutherland (le Président Snow), qui est un acteur somme toute assez bon pour peu que vous ayez regardé autre chose que Teen Wolf, Pretty Little Liars ou Vampire Diaries ces dix dernières années. On regrettera alors seulement que les Docks initient cette prog' par une diffusion en VF là où on était en droit d'attendre une VO pour les puristes. M'enfin, le fan d'action-heros des années 80 que je suis appréciera d'entendre le doublage de Bernard Tiphaine sur Donald Sutherland. Bernard qui ? Mais si, vous savez bien, le doubleur français officiel de Chuck Norris ! Quoi ? Chuck Norris a joué dans Hunger Games ? Mais vous avez carrément rien bitté au tableau !

La saga Hunger Games en une scène culte : Raaaah, difficile de choisir une seule scène qui se démarque de toute la saga, tant celle-ci en propose pléthore. Du coup, tant qu'à être parfaitement raccord avec la prog', on vous a mis une bonne petite scène d'action extraite du premier épisode intitulé La Révolte :


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Titre : Les Révoltés De L'An 2000
Titre V.O. : ¿Quién puede matar a un niño?
Réalisateur : Narciso Ibáñez Serrador
Pays d'origine : Espagne
Genre : Thriller
Durée : 1h52
Acteurs principaux : Lewis Fiander, Prunella Ransome, Antonio Iranzo

Synopsis : Un couple d’Anglais, Tom et Evelyn, débarque dans la station balnéaire de Benavis pendant les festivités d’été. Préférant fuir la foule, ils prévoient de partir le lendemain pour la petite île d’Almanzora. Dans ce lieu ignoré des touristes, les Anglais auront tout à loisir de se reposer pendant leurs deux semaines de vacances, en particulier Evelyn qui est enceinte. Mais à leur arrivée, ils découvrent un village totalement abandonné de ses habitants. Bientôt, des enfants au comportement étrange font leur apparition. Et s’ils avaient quelque chose à voir avec la disparition de la population adulte ?


Lieu de projection : Omnia aux Toiles
Dates de projection : Une séance chaque jour du 12/08 au 18/08 (20h20 une séance sur deux et 15h40 une séance sur deux)
Langue de projection : VO



L'avis de John : Bien que j'entende parler du film depuis de nombreuses années et qu'il a toujours su attiser ma curiosité et mon envie de le voir, je n'ai jamais pris le temps de le visionner. Du coup, c'est l'occasion ou jamais pour le voir. Le mélange des styles qui anime le film, à savoir thriller, épouvante, western ou même post-apo à la Mad Max, crée une ambiance unique et indescriptible qui, à mon avis, fait la grande force de ce long-métrage. Si le film tient toutes les promesses entrevues dans les diverses bandes-annonces, il faut absolument aller le voir !

Le film en une bande-annonce : Afin de vous donner l'envie d'aller voir ce triller horrifique qui aurait révolutionné tout un pan du cinéma, voici une belle bande-annonce qui va vous mettre l'eau à la bouche... mais aussi le train au bout du tunnel :


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Titre : Akira
Titre V.O. : アキラ
Réalisateur : Katsuhiro Ôtomo
Pays d'origine : Japon
Genre : Animation
Durée : 2h04
Doubleurs principaux : Mitsuo Iwata, Nozomu Sasaki, Mami Koyama


Synopsis : Tetsuo, un adolescent ayant vécu une enfance difficile, est la victime d'expériences visant à développer les capacités psychiques qui dorment en chacun de nous. Ainsi doté d'une puissance que lui-même ne peut imaginer, Tetsuo décide de partir en guerre contre le monde qui l'a opprimé. Dès lors, Il se retrouve au cœur d'une légende populaire qui annonce le retour prochain d'Akira, un enfant aux pouvoirs extraordinaires censé délivrer Tokyo du chaos...



Lieu de projection : Kinépolis
Dates de projection : 14/08 (peut-être d'autres séances à venir)
Langue de projection : VO
Infos supplémentaires : Version restaurée 4K



L'avis de John : Je ne vais pas vous mentir : la culture nippone et moi, ça fait 1000 ! Je n'ai jamais lu un seul manga, je n'ai jamais regardé Yu-Gi-Oh! ou même Dragon Ball, j'ai beaucoup de mal avec Naruto et je ne supporte pas One Piece. Pour tout vous dire, le seul film qui me vient en tête quand je pense au Japon, c'est Wasabi avec Jean Reno... Et pourtant, après avoir vu la BA de ce Akira, j'ai la furieuse envie d'aller voir cet anime tant on me l'a superbement vendu. De l'action, des décors futuristes, des méchants bien méchants, des répliques qui font mouche, bref, on retrouve tout ce que j'aime d'ordinaire dans un film avec de vrais acteurs. Du coup, là aussi, on recommande d'aller voir cet anime car ça a l'air vachement explosif et délicieux !

Le film en une bande-annonce : Ça, c'est de la BA qui en met plein les yeux ! Rien que pour ça, il faut la regarder jusqu'au bout et aller redécouvrir cet anime dans vos salles :


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